Le petit boudoir dit de Fragonard, au premier étage, était accessible par le salon des pastels.
Cet ensemble décoratif avec ses boiseries, sa porte peinte, son dessus de porte sculpté, son canapé, sa console, ses bras de lumière et ses vases était déjà présenté dans la résidence précédente de Jacques Doucet, 27 rue de la Ville-l’Evêque à Paris.
L’architecte de l’hôtel de la rue Spontini, Louis Parent, a donc conçu son plan en prévoyant d’y intégrer ce décor du XVIIIe siècle.